Fauré Requiem
Fauré compose ce Requiem en 1887 en réaction à la lourdeur musicale généralement imposée par la mort.
Du Dies Irae, il ne garde que la dernière strophe (Pie Jesu dona eis requiem), et il intègre l’antienne « In Paradisum » qui se chante généralement après la messe au moment d’aller vers le cimetière.
Au lieu d’évoquer le Jugement Dernier, Fauré propose une vision sereine et réconfortante de la mort et du paradis.